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Ça ressemble à une clôture

vendredi 1 août 2008

Voilà, ça y est, un peu de nostalgie me prend. J’ai exporté tous mes billets tango vers Niceto Tango et tous les autres vers Jononline.

Du coup, ce blog n’a plus vraiment de raison d’être… Je pourrais presque l’effacer. Mais j’aime bien être « On The Roof »… De la haut, la vue est belle… Parfois, « The Roof Is On Fire », ça bouge un peu, ça chauffe un peu plus…

Comme quand il y a le feu au lac!

We’ll see what happens. Bye for now.

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Un nouveau blog

mercredi 30 juillet 2008

Voilà un moment que je me débattais entre mes différents blogs, Jononline et The Roof Is On Fire. Le premier était destiné à des sujets généraux en rapport avec l’actualité, ou des petits tuyaux techniques sur les blogs, des liens intéressants d’internet. Sur « The Roof », j’avais écrit sur des thèmes plus en rapport avec l’Argentine, la danse, le tango…

Mais j’y ai un peu perdu mon latin, et mon envie d’écrire. Du coup, je viens de commencer un nouveau blog: Niceto Tango. Comme son nom l’indique, il traite principalement du tango, « non sans exclure… » une petite parenthèse de temps en temps.

Vu que le mieux est l’ennemi du bien, et que la majorité des tangueros restent quand même dans leur région favorite (nous, les Suisses, on n’est pas très mobiles…), ce nouveau blog se concentre sur le tango généralement à Lausanne, « non sans exclure… » quelques exceptions à l’occasion. Il est complété par un Agenda Google.

Dans ma vision, il y a déjà un blog qui centralise exhaustivement les informations générales et les liens tango sur la Suisse-Romande, donc inutile de faire les choses à double. Ensuite, à chaque région d’avoir son site d’informations plus détaillées si nécessaire.

La newsletter de Jean-Marc de Tangofolie offre aussi un canal de communication pour ceux qui préfèrent que l’information leur arrive directement dans leur messagerie électronique, et qui ne connaissent pas les flux RSS.

Quand au blog « On The Roof », je ne sais pas ce qu’il va devenir… On verra bien!

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Pour davantage de folklore argentin

dimanche 27 juillet 2008

Ernesto Carmona revient donc à Lausanne en novembre, et en plus du tango, c’est un passionné et un expert de folklore argentin.
Malheureusement, on dirait qu’il n’y a que peu de demande pour de tels cours à Lausanne, mais j’aimerais beaucoup qu’on me prouve le contraire.
Le folklore en vaut la peine. La zamba est magnifique, mais demande beaucoup de cours pour arriver à quelque chose. C’est pour les spécialistes. Au contraire, beaucoup plus dansent la chacarera, on peut s’en sortir même si on doit copier la chorégraphie sur le voisin! Sur la même piste, des experts cotoieront des débutants et tout le monde s’amusera avec la même intensité.
N’hésitez pas à me faire part de votre intérêt pour de la chacarera par exemple: si assez de gens s’y mettaient, on pourrait en danser quelques unes lors d’un petit break au milieu d’une milonga, comme à La Viruta, Villa Malcolm, La Glorieta ou d’autres endroits à Buenos Aires!

Par exemple, moi j’ai appris la chacarera sur le tas, lors de ces soirées à Buenos Aires. Je la danse sûrement très mal, mais je peux confirmer qu’on peut beaucoup s’amuser en la dansant, surtout si on n’est pas tout seul! La chacarera simple est une chorégraphie finalement assez facile à mémoriser, ça fait un contraste par rapport à l’improvisation permanente du tango, pour un petit moment.
S’il y avait assez de personnes intéressées, Ernesto serait enchanté de proposer aussi un atelier de folklore lors de sa visite.

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Ernesto revient à Lausanne en novembre: les 15 et 16!

dimanche 27 juillet 2008

La dernière visite d’Ernesto à Lausanne avait été organisée un peu… à la dernière minute, à des dates – fin juin – qui ne convenaient pas forcément à tout le monde. Tout le monde en est reparti enchanté, mais beaucoup étaient déçus de ne pas pouvoir être là.

Du coup, vu qu’il revient en Europe cet automne, j’en profite pour le faire passer par Lausanne. Il y sera le week-end du 15 et du 16 novembre. Comme d’habitude, il arrivera quelques jours avant, et repartira quelques jours après, pour pouvoir donner des cours privés à ceux qui le désirent.

Voici le flyer que je vais distribuer, qui présente un peu la philosophie du stage et donne quelques détails concrets supplémentaires. N’hésitez pas à l’imprimer et le diffuser aussi!

Cette fois, il y a un petit changement dans la formule. Le privé pour chaque couple demeure, mais la durée du cours de groupe sera réduite de 3 à 2 heures par jour: davantage d’intensité et baisse du prix en conséquence. S’il y a plus de 9 couples inscrits, le cours sera dédoublé en 2 groupes en fonction des niveaux présents.

Tout se passera dans les locaux de L’ACADE, à Chavannes-près-Renens, là où sont donnés les cours de Tango José le vendredi soir. C’est à moins de 10 minutes à pied de la gare CFF de Renens.

Je vous laisse donc me contacter pour votre inscription, soit en laissant un commentaire à ce billet, ou alors via les coordonnées mentionnées dans le flyer. J’aimerais éviter le refrain traditionnel « les places sont limitées, alors inscrivez vous sans tarder! », mais… inscrivez-vous sans tarder! C’est essentiel pour que je puisse confirmer au plus vite aux personnes déjà inscrites les horaires de cours de groupe et des leçons privées.

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Ernesto revient à Lausanne!

dimanche 25 Mai 2008

Hmmm. Voilà depuis quelques mois que j’ai la panne du blogueur! J’espère que ça me reviendra bientôt! Pas trop l’envie ou le besoin d’écrire pour le moment, depuis mon retour en Suisse. Mon petit doigt me dit que ça reviendra prochainement. Mais là, cas de force majeure…:

Car Ernesto Carmona revient à Lausanne pour donner un stage les 28 et 29 juin. Vous pouvez lire dans ce blog tout le bien que je pense de lui…

Le prix est toujours le même, 230 francs suisses pour 3 heures de cours le samedi après-midi et 3 heures le dimanche après-midi, ainsi qu’une heure de couple. Vous pouvez vous inscrire seul, mais attendez-vous à partager votre heure de privé avec un autre partenaire. Il y aura aussi, durant les jours qui précèdent ou suivent, la possibilité de prendre des cours privés.

En plus, il y aurait la possibilité de prévoir une soirée pour une initiation aux danses folkloriques argentines, comme la chacarera, la zamba, le chamamé… La première citée est plus facile à comprendre, et est très divertissante! A Buenos Aires, il y a souvent un moment au milieu de la milonga où l’on peut danser la chacarera. Tout le monde s’y met, en ligne, et ceux qui maîtrisent un peu moins copient les voisins qui maîtrisent mieux la chorégraphie!

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Coupeurs de ponts à Gualeguaychú

jeudi 18 octobre 2007

Une affaire qui empoisonne depuis maintenant pas mal de mois les relations entre l’Argentine et l’Uruguay, c’est celle de la « papelera, » l’usine de cellulose pour blanchir le papier que l’entreprise finlandaise Botnia construit au bord du fleuve Uruguay, du côté de la République d’Uruguay.
Les Argentins n’en veulent pas, particulièrement les citadins de Gualeguaychú, ville touristique réputée pour son carnaval. Ils craignent pour la pollution de la rivìère, bien qu’ils soient situés en amont de l’usine.
Cette affaire a été récupérée par les politiques et les environnementalistes, car la méthode utilisée, à base de chlore, va être ou vient d’être déclarée non conforme dans l’Union Européenne. Depuis des mois, les ponts reliant les 2 pays sont coupés, et la petite ville uruguayenne de Fray Bentos, de l’autre côté du pont, suffoque.
Quand les piqueteros coupent des routes, ils les coupent. Il y a quelques jours, une ambulance s’est retrouvée coincée avec un organe à transplanter entre Resistencia et Corrientes. On ne sait pas ce qui se serait passé, mais ce qui est sûr, c’est que le patient receveur est mort.
Pour en revenir à l’histoire qui nous occupe, d’après ce que j’ai lu, les Finlandais s’étaient engagés à rendre une autre usine moins polluante par la même occasion, pour minimiser l’impact écologique total.
De plus, les Argentins ont sur leur territoire des dizaines d’usines tout aussi polluantes, si ce n’est plus, et rien ne bouge. Le Riachuelo, qui borde Buenos Aires au sud, est tellement pollué qu’il n’y a plus de mots. Et rien ne se fait depuis des années, malgré les bonnes paroles. Et l’histoire avec l’Uruguay est devenue une cause nationale, montée en épingle.
Au point que certains Argentins se disent qu’ils devraient peut-être aller à Mar del Plata cet été et non à Punta del Este comme d’habitude, de peur d’être bien mal accueillis.
Les Argentins donnant la leçon aux Uruguayens – réputés comme les Suisses de l’Amérique Latine – ainsi qu’aux Finlandais, cela fait sourire en voyant les rues de Buenos Aires jonchées de déchets, et les autres comportements anti-environnementaux que j’ai pu observer ici.

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Concours de colleurs d’affiches

jeudi 18 octobre 2007

Je suis un peu perdu entre mes deux blogs… Au début, celui-ci devait être plutôt orienté vie argentine et tango, et je me suis retrouvé à écrire des billets de vie argentine sur l’autre. Enfin, voici un bon exercice contre le perfectionisme.
Donc. Dans un peu plus d’une semaine, c’est l’élection présidentielle ici. Il n’y a aucun suspense, Cristina, l’épouse de l’actuel président Kirchner, va gagner. Aux dernières nouvelles, il n’y aurait même pas de suspense quant au déroulement d’un second tour. Elle gagnera au premier.
Je me pose toujours des questions sur les démocraties où il y a davantage que 2 candidats à la présidentielle, et où le vainqueur est quand même connu dès le premier tour. Cela signifie que la vie politique n’est pas du tout équilibrée, comme ici. Est-elle véritablement démocratique?
Je souris jaune en rentrant la nuit et voyant les colleurs d’affiches recouvrir pour la troisième fois l’affiche originale d’un candidat, superposant celle d’un autre. C’est bizarre de penser que les partis politiques paient des gens pour coller leur affiche par dessus celle de leur concurrent. C’est d’autant plus particulier que cette élection ne prévoit aucun suspense.
Donc après 4 ans de Nestor, du protectionnisme à tout vent, de l’inflation qui officiellement n’existe pas (c’est du dynamisme économique!), un conflit douteux avec l’Uruguay au sujet d’une usine de cellulose, des valises remplies de dollars rencontrées dans les toilettes des ministères, et plein d’autres affaires tout aussi particulières, ce sera parti pour 4 ans de Cristina. Et ensuite?

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L’abrazo

vendredi 17 août 2007

L’abrazo est un élément essentiel du tango. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec cette danse, c’est tout simplement la position unissant les corps de l’homme et de la femme lors de la danse. 

Comment se traduit « el abrazo » en français? On utilise souvent ce mot espagnol comme un concept abstrait, comme s’il s’agissait de « la patata », la pomme de terre, ou encore « l’asado », la grillade.

En anglais, on peut parler de « the embrace », et je crois que le terme est assez utilisé dans le monde du tango. En français, à défaut d’embrasement, il n’y a que « l’embrassade » qui est disponible, mais qui ne requiert que peu de suffrages. Ai-je oublié un autre terme?

On parlera donc d’abrazo abierto o cerrado, « ouvert » ou « fermé » selon les préférences de chacun. Dans le premier cas, le contact se fait exclusivement via les bras, et aussi le regard, idéalement. Dans le second cas, le contact est plus global, poitrine contre poitrine, comme si l’on embrasse son ou sa partenaire, au sens premier. Le but est simplement d’être confortable dans les bras de l’autre.

Pour l’homme, avoir un abrazo arrondi, sans être dur ou anguleux, sans tension ni force. Pour la femme, de même, le difficile étant peut-être d’adapter sa position en fonction de la différence de taille avec l’homme. J’ai dansé des tangos très agréables en abrazo cerrado avec des femmes me rendant 30 centimètres, talons compris. C’est donc possible!

En Europe, souvent le tango est enseigné aux débutants avec un abrazo ouvert, alors qu’en Argentine, le même tango peut être enseigné aux mêmes débutants avec un abrazo fermé. Est-ce une question de pudeur? Est-ce vraiment une question de technique? Ça paraît plus facile? J’ai rencontré des débutantes qui me disaient qu’il était plus difficile pour elles de danser avec un abrazo ouvert que fermé.

Au contraire, en Suisse, certaines ne veulent pas danser avec un abrazo fermé, parce que c’est supposément plus difficile, parce qu’elles ont appris ainsi, ou peut-être parce qu’elles craignent que l’abrazo de l’homme leur sera inconfortable ou pire.

Je pense qu’il est important de garder à l’esprit que le tango est une danse de liberté, qui peut se danser par moments avec un abrazo cerrado, et à d’autres un abrazo abierto. C’est à l’homme de règler le format de son abrazo en fonction de ses habilités techniques et celles de sa partenaire, en ayant toujours à l’esprit que l’objectif de l’abrazo est que chacun soit confortable dans les bras de l’autre.

Il n’y a pas de règle qui dit qu’un ocho en avant doit se faire avec un abrazo particulier, ouvert ou fermé comme il n’y en a pas qui dit que l’homme doit faire un pas latéral quand il fait faire un ocho en arrière à la femme. Tout dépend de la technique de chacun.

Certains danseurs, généralement davantage dans la mouvance du tango nuevo, préfèrent un abrazo ouvert en permanence. D’autres, adeptes du style de tango milonguero – moins fréquent en Suisse – gardent l’abrazo fermé quasiment en permanence.

J’apprécie aussi ce deuxième style, ma fois bien agréable, mais il est vrai que ce n’est pas forcément facile, particulièrement pour quelqu’un qui débute. Mais ce que je préfère, c’est d’avoir la liberté de pouvoir coulisser d’un abrazo à l’autre en fonction de ce qu’impose la situation ou les pas que je vais faire. Et non être contraint à un abrazo ouvert en permanence, qui me donne l’impression d’une barrière entre moi et ma partenaire.

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Le chat de Fernández Fierro

vendredi 17 août 2007

A tous ceux qui penseraient que le tango est une musique rétro, et qui sont dans les environs de Buenos Aires, je leur conseille d’aller faire un petit tour du côté du quartier de l’Abasto, au Club Átletico Fernández Fierro un mercredi soir dès 22h30 pour la milonga hebdomadaire. Avec concert de l’Orquesta Típica local. De plus, pour les couche-tôt, c’est tôt, au contraire des habituelles prestations musicales milonguesques qui commencent vers une heure du matin.

C’est un club social bien local, plein de touristes sûrement, mais très relax, un peu dans la même catégorie que La Catedral. Il n’y a pas beaucoup de place pour danser, d’ailleurs les gens ne viennent pas vraiment pour ça, ils viennent pour voir. Amis danseurs, meilleur donc de venir en groupe, même s’il reste possible d’avoir de la chance.

Mais voir quoi? Parce que des tables, il y en a, et du public aussi, pour 10 pesos l’entrée, et 8 le litre de bière Quilmes! J’avais déjà entendu l’orchestre enregistré, mais le voir, c’est quelque chose. Confirmé: certains ont davantage un air de rocker type Cobain ou Axl Rose, et le chanteur est bien déjanté par moments. A un certain moment, j’avais l’impression que le spectacle était autant visuel que musical, ce qui empêche bien sûr un peu les gens de danser. J’avais pris mon parti de me contenter de cela, un peu frustré, regrettant un petit peu le style « m’as-tu vu » des musiciens quand l’un des membres a rappelé au micro que l’on pouvait aussi danser.

Mais qu’on ne s’y trompe pas. La musique demeure celle que peut produire un orchestre typique traditionnel avec 4 violons, 4 bandonéons, une contrebasse, un violoncelle et un piano. Toutefois, ça déménage! On dira que le style est un peu plus dynamique que Los Reyes del Tango par exemple, qui reproduisent fidèlement le style de Juan D’Arienzo.

Ah, j’oubliais la star du groupe. Le chanteur? Non, je pense au maître des lieux. Peut-être est-ce lui, Fernández Fierro? Je parle du chat noir et blanc qui se promenait tranquillement entre les tables du public avant le concert, et qui s’est même permis une incursion entre les pieds des rockers, non que dis-je, des bandoneonistes pendant le concert, avant de tranquillement terminer sa vadrouille allongé aux pieds du pianiste…

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Ernesto Carmona à Lausanne en octobre!

dimanche 12 août 2007

S’il y a trop de carbone dans l’atmosphère, il n’y aura jamais trop de Carmone dans le monde du tango, que ce soit à Buenos Aires, mais également, en grande première pour vous en Suisse-Romande, à Lausanne le 6 et le 7 octobre 2007.

Ce que j’apprécie le plus quand je suis à Buenos Aires, c’est de pouvoir prendre des cours avec Ernesto Carmona. Si je ne vous en ai pas déjà parlé, vous n’avez sûrement jamais entendu son nom, et ce n’est pas sur Internet que vous allez apprendre beaucoup sur lui. Il ne fait que peu de pub, et fonctionne au bouche-à-oreille.

C’est un type unique, très attachant, empathique et avec un caractère affirmé. Avec lui, on n’apprend pas des pas ou des figures, mais à développer son tango personnel, sortir de son mental, du formattage chorégraphique, des limites et de la mémoire inconsciente des pas pour aller vers son ressenti et son improvisation personnelle.

Ralentir, développer le confort de l’abrazo, ressentir la communication entre les corps et abandonner toute idée de force et de tension dans le guidage sont quelques uns des points-clé de sa philosophie.

Parmi les milliers (je n’exagère pas) de profs de tango de Buenos Aires, sa philosophie et sa manière d’enseigner me semblent différentes de tous les autres. Il va contre le système traditionnel. Avec lui, il faut accepter de remettre en question certains acquis que l’on a, qui nous paraissent fondamentaux. A la première heure, on a peut-être l’impression de déconstruire son tango, mais à la fin, tout finit par se mettre en place! 

Normalement, il vient en Europe un mois par année, et a un programme régulier, retrouvant des habitués à Zurich et en Italie. Cette année, il vient pour 2 mois et Lausanne (et la Suisse-Romande) aura donc la possibilité de le découvrir!

C’est pour ça que j’ai pris contact avec Nathalie Piller, qui a gentiment offert de s’occuper de l’organisation logistique de l’événement. Le stage se compose de manière différente d’un stage traditionnel.

Le nombre de participants est limité. Il y a déjà des inscrits (vive le bouche-à-oreille!), mais il reste encore des places. Chacun participera à 2 classes de 3 heures chacune, le samedi après-midi ET le dimanche après-midi, ET une heure de cours privé avant le dimanche. Ernesto parle très bien français.  

Le prix est de 230 francs suisses, donc pour 7 heures de cours dont une privée. C’est une certaine somme mais ça en vaut la peine. Considérant le coût d’une leçon privée, et en divisant ensuite par 6, on arrive à un prix horaire très habituel.

Les dates du stage sont le samedi 6 et le dimanche 7 octobre. Il n’y a pas besoin de s’inscrire en couple, même s’il serait bien de faire en sorte d’avoir plus ou moins une parité entre hommes et femmes durant le cours, donc si vous venez à 2, c’est quand même mieux. Les hommes seuls sont toujours bienvenus à s’annoncer.

J’espère vraiment que vous serez intéressés, et n’hésitez pas à en parler autour de vous. C’est une occasion unique de voir le tango sous un angle différent, que j’espère vraiment pouvoir partager avec vous. Nina le connaît déjà pour avoir participé à un de ses stages à Zurich. Nathalie le connaît bien aussi, alors parlez-en aussi avec elles!

Inscrivez-vous auprès de Nathalie Piller par mail ou téléphone (021 624 4918), ou dans les commentaires de ce billet.

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